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Enseignement du Saint Père

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ATELIER

INCæLIS
La Porte du Ciel

Enseignement du Saint Père 

N° Ensei 10

Lundi 10 octobre 2005

 

 
     
 
 
 

Tout sur Joseph Alois Ratzinger- Benoît XVI

Lundi 10 octobre 2005

Revue de Presse autre que Zénit

Benoît XVI a béatifié un prélat allemand contempteur des nazis

et d'autres Liens.

 
 


Rome
Visite d’Etat du président israélien Katsav au Vatican
Enseignement social de l’Eglise : le compendium en français est arrivé !
Unesco : « Une « bioéthique », d’abord pour des raisons éthiques »

Spécial synode
Card. Castrillón Hoyos « Parce qu’il est réellement présent, je peux parler avec mon Seigneur »
« Le célibat est le joyau le plus précieux dans le trésor de l'Église Catholique »
Card. Errazzuriz Ossa : « Ma Messe est ma vie, et ma vie est une Messe prolongée ! »
Card. Poupard : « L'évangélisation n'est pas le fruit de l'inculturation. Elle en est la source »
Card. Cottier : La communion eucharistique suppose une communion dans son intégralité
40e anniversaire de l’institution synodale : Congrégation spéciale

International
« Le courage d’un humanisme de paix » à la une de la « doc-catho »

 
   
 




 

Rome



Visite d’Etat du président israélien Katsav au Vatican
Et « acte commémoratif » de Nostra Aetate

ROME, Lundi 10 octobre 2005 (ZENIT.org) – Une visite d’Etat du président israélien Moshe Katsav est prévue au Vatican le mois prochain, a annoncé le 2 octobre, à la une, le quotidien israélien « Haaretz » (La Terre). Le président Katsav effectuera également une visite officielle en Italie au même moment. Ce sera la première visite d’Etat d’un chef d’Etat israélien au Vatican.

Par ailleurs, un « acte commémoratif » de la promulgation de « Nostra Aetate » aura lieu le 27 octobre à Rome avec la participation du rabbin Rosen et du cardinal Lustiger.

M. Katsav a déjà rencontré Joseph Ratzinger à l’occasion des funérailles de Jean-Paul II le 8 avril dernier. Selon M. Obed Ben Hur, ambassadeur d’Israël près le Saint-Siège, la visite de M. Katsav « symbolise les bonnes relations » entre le Saint-Siège et Israël.

Pour sa part, le conseiller du président Katsav, M. Avi Granot, souligne deux aspects de la rencontre: « Israël et le Vatican sont deux Etats qui ont des relations diplomatiques mais au-delà, il y a aussi une reconnaissance, de la part du Saint-Siège, qu’Israël représente le peuple juif et le Vatican, le monde catholique. De là, l’importance d’une telle rencontre. »

On se souvient que le pape Benoît XVI avait adressé un message à la communauté juive au lendemain de son élection. La communauté juive, à Rome, mais aussi dans d’autres pays, comme en France, avait organisé des rencontres de prière à l’occasion de la maladie de Jean-Paul II et fait parvenir des messages de condoléances après son décès, le 2 avril dernier.

D’autres signaux positifs ont suivi : la visite « historique » de Benoît XVI, pape allemand, à la synagogue de Cologne, le 19 août dernier, la lettre du Premier ministre Ariel Sharon au pape Benoît XVI, et la visite des deux grands rabbins d’Israël, Shlomo Moshe Amar et Yona Metzger, au Vatican le 15 septembre dernier.

Mais 2005 est aussi l’occasion de fêter les 40 ans de la déclaration conciliaire Nostra Aetate sur les relations de l’Eglise catholique avec les religions non-chrétiennes, et spécialement le judaïsme. Un congrès a eu lieu fin septembre.

Le 27 octobre prochain, un « Acte commémoratif » aura lieu à Rome, au palais de la Chancellerie. Il sera ouvert par le cardinal Walter Kasper, président de la commission du Saint-Siège pour les Relations religieuses avec le judaïsme. Ce sera l’occasion d’un « bilan » du dialogue juif-catholique ces dernières décennies, et de tracer des perspectives, avec le rabbin David Rosen, du Comité juif américain (American Jewish Committee) et le cardinal Jean-Marie Lustiger, archevêque émérite de Paris.
ZF05101001

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Enseignement social de l’Eglise : le compendium en français est arrivé !
Présentation par le cardinal Martino

ROME, Lundi 10 octobre 2005 (ZENIT.org) – L’édition en français du « compendium » de l’enseignement social de l’Eglise a été présentée, samedi dernier, 8 octobre, au pères du synode, par le cardinal Renato Raffaele Martino, président du conseil pontifical Justice et Paix. Un événement éditorial très attendu.

Le cardinal Martino a remis un volume en français au pape Benoît XVI, grand francophone, lors de la Xe congrégation générale du synode des évêques sur l’Eucharistie, samedi matin. La présentation a été saluée par un applaudissement chaleureux.

« Depuis longtemps, le monde francophone, souligne un communiqué du dicastère romain, attendait la publication de l’édition française, réclamée à grande voix par les agents pastoraux et les centres d’étude, non seulement en France, mais dans toutes les Nations où l’on parle français ».

Le cardinal Martino avait présenté, le 25 octobre 2004, l’édition en italien de ce « compendium » de l’Enseignement sociale de l’Eglise. Il insistait sur la nécessité de faire connaître, vivre et répandre cet enseignement.

L’ouvrage a demandé cinq ans de travail, d’abord sous la direction du défunt cardinal vietnamien François-Xavier Nguyen Van Thuan, prédécesseur du cardinal Martino.

Rappelons que ce volume, comme l’indiquait le cardinal Martino, a une « structure simple et franche », en trois parties :

- les 4 premiers chapitres traitent des points fondamentaux de la Doctrine sociale ;

- les sept suivants exposent les contenus et les thèmes de la famille, du travail, de la vie économique, de la communauté politique, de la communauté internationale, de l’environnement et de la paix.

- le dernier chapitre contient une série de recommandations sur l’utilisation de la Doctrine sociale dans les activités pastorales de l’Eglise et dans la vie de tous les chrétiens, surtout des fidèles laïcs.

Le président du conseil pontifical avait précisé que le compendium « est accessible à tous - catholiques et autres chrétiens, personnes de bonne volonté ». C’est « un instrument utile pour le discernement moral et pastoral des événements complexes qui caractérisent notre temps, un guide, une aide sur la moralité sociale des enseignements de l’Eglise à la disposition des fidèles ».

Il constitue aussi « un instrument pour renforcer le dialogue œcuménique et inter-religieux pour les catholiques avec tous ceux qui recherchent sincèrement le bien de l’humanité ».

L’ouvrage est dédié à Jean-Paul II qui, en 1999, avait souhaité, dans son exhortation apostolique post-synodale « Ecclesia in America » que l’Eglise dispose d’un « compendium ou une synthèse approuvée de la doctrine sociale catholique, comprenant un catéchisme qui mettrait en évidence son lien avec la nouvelle évangélisation ».

Ce volume de plus de 500 pages, est accompagné d’une lettre d’introduction du cardinal Angelo Sodano, secrétaire d’Etat, et adressée au président du conseil pontifical avec pour titre : « Un humanisme intégral et solidaire ».

Compendium de la Doctrine sociale de l'Église, édition française, Conseil Pontifical Justice et Paix, Librairie Éditrice Vaticane, oct. 2005 (18 euro).
ZF05101002

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Unesco : « Une « bioéthique », d’abord pour des raisons éthiques »
Par Mgr Francesco Follo

ROME, Lundi 10 octobre 2005 (ZENIT.org) – « S’il doit y avoir une « bioéthique », c’est d’abord pour des raisons éthiques » a déclaré de façon lapidaire Mgr Francesco Follo, chef de la Délégation du Saint-Siège à l’UNESCO, qui est intervenu ce soir, 10 octobre, à l’UNESCO, à Paris, dans le cadre de la 33ème session de la conférence générale de cet organisme de l’ONU pour l’éducation, les sciences et la culture.

La 33e Session de la conférence générale de L’UNESCO qui fête aussi les 60 ans de sa fondation est marquée par des débats importants sur des sujets qui tiennent au cœur le Saint Siège (dialogue interculturel et inter religieux, diversité culturelle, bioéthique, rapports entre liberté et justice, vérité et justice, valeurs éducatives).

Respect de l’homme et de sa dignité
La bioéthique, affirmait Mgr Follo, « nous impose de savoir ce qu’est une exigence morale, en l’occurrence celle du respect de l’homme et de sa dignité intrinsèque ».

« Il est impossible de nier que la biologie et la médecine, depuis qu’elles ont pris leur essor, contribuent massivement à améliorer les conditions de vie de l’homme, reconnaissait Mgr Follo. Mais nous nous trouvons aujourd’hui devant une situation nouvelle, où l’homme peut ou pourrait mettre en jeu le destin de toute son espèce, tenté qu’il est de traiter l’être humain comme un simple matériau de laboratoire ».

Il faisait remarquer : « D’un côté, l’homme affirme qu’il veut guérir et mener jusqu’à sa mort une vie digne de son humanité — mais, d’un autre côté, nous savons bien que la pénurie de médecins, d’installations médicales et de médicaments prive de ces droits la grande majorité des habitants de la planète ».

« Bien plus, continuait Mgr Follo, face à ces nouveaux défis, il faut que l’homme soit et reste un homme, vivant une vie « humaine» et mourant une mort « humaine» ».

Et de conclure : « Il apparaît donc bien que l’aspect biologique n’est qu’une des dimensions de notre être, et que réduire l’homme à cette dimension serait faire œuvre de mutilation. S’il doit y avoir une « bioéthique », c’est d’abord pour des raisons éthiques ».

D’emblée, Mgr Follo avait cité le message de Benoît XVI pour le 25e anniversaire de la visite de Jean-Paul II à l’UNESCO : Benoît XVI assurait que l’Église catholique « continuerait de prendre part aux réflexions et aux engagements de l’UNESCO », et ceci « en mobilisant ses propres forces, qui sont avant tout de nature spirituelle, pour concourir au bien de l’homme dans toutes les dimensions de son être».

« Il appelait ainsi, commentait Mgr Follo, à «mobiliser les énergies de l’intelligence pour que soient reconnus partout les droits de l’homme à l’éducation et à la culture, spécialement dans les pays les plus pauvres». »

Mgr Follo soulignait : « Ces paroles du Pape Benoît XVI expriment de façon éloquente combien il est nécessaire, pour que le travail de cette Organisation soit mené à bien, de mettre en œuvre toutes nos ressources, afin que la dignité de l’homme soit vécue, promue, respectée. Œuvre immense et de longue haleine, qui doit affronter toutes sortes de situations nouvelles qu’il nous faut comprendre et de problèmes concrets qu’il nous faut surmonter ».

L’éducation des filles
Le représentant du Saint-Siège exprimait aussi l’appréciation du Vatican pour « l’attention portée au thème de la pauvreté », et « l’insistance mise sur l’éducation des filles, qui sera une contribution importante au développement social dans certaines régions du monde ».

Mgr Follo abordait ensuite la question de « l’articulation de la liberté et de la justice, en affirmant : « La liberté sans la justice, nous le savons, ne veut rien dire d’autre que le déchaînement des intérêts privés. Et la justice sans la liberté n’est qu’une justice formelle, celle des totalitarismes et des dictatures de tout genre ».

Il concluait : « C’est donc ensemble qu’il faut promouvoir la liberté et la justice. En effet, l’homme sans liberté ou l’homme sans justice est tout autant mutilé que l’homme réduit à la réalité biologique de son corps. Ici encore, une dimension entière de son être, que l’on peut qualifier de spirituelle, se trouve niée. Privé de liberté et de justice, l’homme n’est plus vraiment un homme : il est aliéné ».

Mais Mgr Follo interrogeait également : « L’homme peut-il vivre humainement s’il lui est impossible de dire la vérité ? »

Il expliquait : « Il nous faut affirmer qu’il n’y a pas de liberté et de justice qui vaillent sans qu’elles reposent sur la vérité dans les relations mutuelles entre les hommes, au moyen de la confiance réciproque. Nous sommes capables de chercher et de connaître la vérité, et cette capacité fait partie de ce qu’il y a de plus humain en nous, car elle met en jeu notre raison et notre volonté, et elle nous rend capables de vivre selon ce que nous enseigne notre conscience ».

Vocation spécifique de l’Eglise, au service de l’homme
Mgr Follo recommandait ensuite : « L’éducation, basée sur le développement intégral de l’être et sur le caractère central de la personne, doit s’attacher à former l’homme dans toutes les dimensions de son être, somatique, psychique, morale, culturelle, politique, religieuse. L’éducation véritable n’a pas pour unique objectif de former des citoyens. Elle n’a pas non plus pour but de ne former que des hommes cultivés. L’éducation doit viser toujours plus, et former des personnes, libres et responsables, notamment en ce qui concerne le comportement en matière affective et sociale. «L’éducation consiste en effet à ce que l’homme devienne toujours plus homme, qu’il puisse “être” davantage et pas seulement qu’il puisse “avoir” davantage, et que par conséquent, à travers tout ce qu’il “a”, tout ce qu’il “possède”, il sache de plus en plus pleinement “être” homme », comme le rappelait ici même le Pape Jean-Paul II (Discours à l’UNESCO, 2 juin 1980) ».

Mgr Follo achevait son intervention sur cette citation : « Le Pape Benoît XVI assurait récemment que l’Église apportera «sa propre contribution au service de la communauté humaine, en éclairant, d’une manière sans cesse approfondie, la relation qui unit chaque homme au Créateur de toute vie et qui fonde la dignité inaliénable de chaque être humain, de sa conception à sa fin naturelle». C’est là sa vocation spécifique, au service de l’homme ».
ZF05101003

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Spécial synode


Card. Castrillón Hoyos « Parce qu’il est réellement présent, je peux parler avec mon Seigneur »


ROME, Lundi 10 octobre 2005 (ZENIT.org) – « Parce que vraiment homme et réellement présent, je peux parler avec mon Seigneur » : le cardinal Castrillon Hoyos a évoqué la force de la présence réelle du Christ dans l’Eucharistie, lors de la 8e congrégation générale de la XI assemblée générale ordinaire du synode des évêques, sous la présidence du cardinal Juan Sandoval Iñiguez, en présence du pape et de 239 membres du synode, vendredi 7 octobre. Il évoquait l’importance de la « sanctification des ministres de l’Eucharistie » et le célibat sacerdotal.

Pour le cardinal Darío Castrillon Hoyos, préfet de la congrégation pour le Clergé, « ce synode professe et confirme la foi séculaire de l’Église dans le grand sacrement qui surpasse tous les autres parce qu’en lui est contenu, sous l’apparence des espèces consacrées, de manière véritable, réelle et substantielle, Notre Seigneur Jésus-Christ, vrai Dieu et vrai homme. Dans l’Eucharistie, parce que vraiment homme et réellement présent, je peux parler avec mon Seigneur, je peux m’adresser à Lui sans avoir peur de la pauvreté de mon langage et de mes sentiments; et parce qu’Il est vraiment Dieu, s’ouvre devant moi un horizon infini de contemplation, un terrain de sécurité et de certitudes ».

Pourtant, il s’interrogeait : « Mais le peuple catholique sait-il, avec une sagesse vitale, ce qu’est la sainte Eucharistie? La faible participation à l’Eucharistie dominicale, la disparition des associations de culte eucharistique, le manque de cohérence de nombreuses personnes entre leur pratique eucharistique et leur vie, l’habitude généralisée de communier sans s’être confessé, la pratique du sacrement de la part de divorcés remariés et des personnes violentes suscitent la question suivante: le peuple catholique sait-il vraiment ce qu’est l’Eucharistie? On ne connaît pas assez profondément la grandeur du mystère d’un Dieu qui se fait pain et compagnie, qui séjourne sous la tente du pèlerin pour offrir son amour rédempteur ».

C’est ainsi que le cardinal proposait quelques « solutions » :

La catéchèse
1. « Une catéchèse à tous les niveaux, selon les cultures, les âges, les conditions intellectuelles, économiques et sociales ».

Les prêtres
2. « Ceux qui sont appelés à mettre en oeuvre ce projet sont les prêtres. Choisis depuis toujours par le Père, il ont reçu le sceau du Christ. Fidèles à leur mission, ils ont besoin d’un soutien dans la fatigue du chemin, d’aide et de compréhension dans la fragilité et de guides pour la sainteté. Ils sont plus de 400.000 à ne pas avoir oublié le mandat “faites cela en mémoire de moi” et forment un vaste réseau capillaire. Nous pourrions demander respectueusement à ce que, dans l’Exhortation post-synodale, le Saint-Père les encourage et les stimule. Ce sont eux qui, formés et suivis, peuvent remplir les vides, corriger les abus, donner un enseignement sain et fort. Ils peuvent stimuler et diriger les animateurs laïcs des communautés privées de prêtre stable et célébrer l’Eucharistie, si les circonstances l’exigent, de manière presque itinérante. Avec les prêtres, il y aura les religieux et les religieuses, les familles, les mouvements, les catéchistes, les jeunes, tous ces laïcs engagés, nourris et motivés par l’Eucharistie elle-même. Dans cette entreprise catéchistique, nous pouvons compter sur deux instruments puissants: le Catéchisme de l’Église catholique et le Compendium du Catéchisme donné récemment à l’Église par le Saint-Père ».

La pieuse vénération du sacré
3. « Pour célébrer un culte convenable de l’Eucharistie, il faut récupérer le sens du mystère et de la pieuse vénération du sacré. La dignité du rite exclut la superficialité, la banalisation du sacré. Les abus offusquent la richesse de la réforme liturgique.

Sanctification des ministres de l’Eucharistie
4. « Une action au niveau mondial en vue de la sanctification des ministres de l’Eucharistie s’impose: une profonde réflexion spirituelle, une prière constante, des journées de jeûne et de contemplation silencieuse du visage eucharistique de Jésus, le Seigneur. Tout cela communiquera force et vie à l’ensemble de la famille catholique. La richesse représentée par le célibat, don précieux de l’Esprit Saint, élève l’être et la figure eucharistique du prêtre. Dans le cadre de la culture sexuelle actuelle, le mariage des prêtres ne constituerait ni une garantie ni une sécurité face aux problèmes d’ordre moral qui touchent certains prêtres ».

Le cardinal Hoyos concluait : « Le Synode peut demander au Saint-Père qu’il nous donne la force d’apprécier toujours plus dans notre Église le don inestimable du célibat et barre la route à de fausses attentes qui peuvent créer inquiétude et confusion ».
ZF05101004

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«
Le célibat est le joyau le plus précieux dans le trésor de l'Église Catholique »
Le cardinal Sfeir présente la situation de l’Eglise maronite, qui admet des prêtres mariés

ROME, Lundi 10 octobre 2005 (ZENIT.org) – « Le célibat est le joyau le plus précieux dans le trésor de l'Église Catholique ». Le cardinal Nasrallah Pierre Sfeir est intervenu au cours de la 8e congrégation générale de la XI assemblée générale ordinaire du synode des évêques, sous la présidence du cardinal Juan Sandoval Iñiguez, en présence du pape et de 239 membres du synode, vendredi 7 octobre.

Le cardinal Nasrallah Pierre Sfeir, patriarche libanais d' Antioche des Maronites, chef du synode de l'Église Maronite évoquait cette proposition : « pour suppléer à la pénurie des prêtres, certains guidés par le principe: « salus animarum suprema lex », réclament l'ordination des fidèles mariés, de foi et de vertu éprouvées, plutôt que de laisser des paroisses sans service sacerdotal ».

Il reconnaissait : « Il y a là un problème que personne ignore. Il mérite qu’on y réfléchisse sérieusement. Dans l’Église maronite, on admet des prêtres mariés. La moitié de nos prêtres diocésains sont mariés. Mais il faut avouer que le mariage des prêtres, s’il résout un problème, il en crée d'autres aussi graves. Un prêtre marié a le devoir de s’occuper de sa femme et de ses enfants, leur assurer une bonne éducation, les caser socialement. Aussi la prêtrise a-t-elle été un moyen de promotion sociale au Liban ».

« Une autre difficulté surgit pour un prêtre marié, soulignait le patriarche Sfeir, c’est celle de ne pas s’entendre avec ses paroissiens. Malgré cela, il arrive que son Evêque ne peut pas le muter, en raison de l’impossibilité pour sa famille de se déplacer avec lui. Malgré tout, ces prêtres mariés ont préservé la foi du peuple dont ils ont partagé la vie dure. Sans eux, cette foi aurait disparu ».

« D’autre part, le Célibat est le joyau le plus précieux dans le trésor de l'Église Catholique, affirmait le cardinal libanais. Mais comment le garder dans une atmosphère érotisée: journaux, Internet, affiches, spectacles, tout s’étale sans honte et ne manque pas de blesser la vertu de la chasteté. Il va de soi que, une fois ordonné, un prêtre ne peut plus contracter mariage. Envoyer des prêtres dans un pays qui en manque, d’un pays qui en a beaucoup, n’est pas une solution idéale, si l’on tient compte des traditions, des habitudes et des mentalités.
Le problème reste posé. Il faut prier le Saint Esprit de suggérer à son Église les moyens de lui trouver une solution adéquate ».
ZF05101005

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Card. Errazzuriz Ossa : « Ma Messe est ma vie, et ma vie est une Messe prolongée ! »
La participation des fidèles laïcs à l’Eucharistie

ROME, Lundi 10 octobre 2005 (ZENIT.org) – « Ma Messe est ma vie, et ma vie est une Messe prolongée ! » : le cardinal Francisco Javier Errazuriz Ossa, des pères de Schönstatt, archevêque de Santiago du Chili, président du Conseil épiscopal Latinoaméricain (C.E.L.AM.) a cité cette parole du saint jésuite chilien que Benoît XVI doit canoniser le jour de la conclusion du synode, le 23 octobre prochain.

Le cardinal Errazuriz Ossa a en effet abordé la question de la participation des fidèles laïcs à l’Eucharistie, lors de la 9e congrégation du synode, le 7 octobre après-midi. Il insistait sur la « participation intérieure », et la nécessité d’une « pédagogie eucharistique » pour « entrer dans l’action liturgique ».

« Les échanges profonds qui ont lieu dans cette assemblée synodale font grandir, de jour en jour, l’émerveillement que suscite en nous le mystère de la foi. Le don eucharistique peut apaiser la faim de l’humanité: faim de communion, de vie et de paix, de transcendance et d’intimité, de vérité et de beauté, de sens de la douleur et de la dignité, de mission, solidarité et fécondité, en un mot, la faim de Dieu », expliquait le cardinal chilien.

Il ajoutait : « Un désir nous accompagne en permanence: celui de partager ce trésor de l’Église, Jésus Christ, notre Pâque. Nous allons donc réfléchir sur la participation des fidèles laïcs à l’Eucharistie. L’Instrumentum laboris, au n°25, nous invite à considérer la participation intérieure. Il dit que “la participation des fidèles à la liturgie, surtout à la Célébration Eucharistique, consiste essentiellement à entrer dans ce culte, dans lequel Dieu descend vers l’homme et l’homme s’élève vers Dieu”. Elle consiste donc à recevoir avec un émerveillement permanent, à partir de notre pauvreté repentie, ce don de Dieu qui descend, Pain descendu du ciel et rompu pour la vie du monde, qu’est son Fils, en prolongeant le mystère de l’Incarnation et de la Nouvelle Alliance dans son Sang, par l’action de l’Esprit Saint. Elle consiste aussi à entrer dans l’action eucharistique pour l’écouter, le contempler, le louer, lui rendre grâce d’être descendu jusqu’à nous, mais aussi pour implorer sa grâce ».

« Nous désirons ainsi nous incorporer à son offrande au Père, en offrant ce que nous sommes et ce que nous avons, ainsi que nos souffrances et nos espérances. En nous nourrissant de son Corps et de son Sang, nous désirons être conformés au Christ comme enfants du Père et frères du Premier-Né, et nous transformer en une nourriture pour nos frères, surtout pour les plus affligés, en missionnaires envoyés pour configurer à lui toute chose dans la fécondité de son Esprit, afin que soit reconnu comme Chef de toute la Création. Nous ne désirons pas monter vers lui tout seuls, mais en union avec tous les rachetés, jour après jour, en formant sa famille comme cohéritiers du Christ », insitait le cardinal Errazuriz Ossa.

« Il s’agit donc, comme le dit l’Instrumentum laboris, d’entrer dans l’action liturgique. Pour cela, le meilleur moyen est de partager les sentiments et les dispositions de sainte Marie, la “Femme eucharistique”, qui nous a précédé et qui marche devant nous dans l’Église Épouse sur les chemins de la foi, du Calvaire, de l’alliance et de la vie nouvelle avec l’ardeur et l’envoi de la Pentecôte », ajoutait le cardinal chilien.

Il concluait en citant le Père Hurtado : « Les fidèles laïcs participent pleinement lorsque toute leur vie est profondément unie à l’Eucharistie; lorsqu’elle est tout entière accueil de Dieu, écoute de la Parole, docilité à l’Esprit; lorsqu’elle est adoration et action de grâce, mais aussi renouvellement de la Nouvelle Alliance; lorsqu’elle est tout entière offrande et communion, sacrifice, impétration et expiation, don gratuit de Dieu pour les frères. L’Eucharistie est vraiment la source et le sommet de la vie et de la mission des fidèles lorsque confluent en elle et partent d’elle - dans la vie personnelle, familiale, professionnelle, artistique, culturelle, sociale et politique, dans les occupations quotidiennes et dans les tâches extraordinaires - l’exercice de la fonction sacerdotale, prophétique et royale de sa vie de chrétien. Je voudrais citer ici les paroles du Bienheureux Alberto Hurtada, à la canonisation duquel nous allons assister, si Dieu le veut: « Ma Messe est ma vie, et ma vie est une Messe prolongée! ». Tel est le but et le chemin de toute pédagogie eucharistique ».
ZF05101006

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Card. Poupard : « L'évangélisation n'est pas le fruit de l'inculturation. Elle en est la source »


ROME, Lundi 10 octobre 2005 (ZENIT.org) – « L'évangélisation n'est pas le fruit de l'inculturation. Elle en est la source », a affirmé le cardinal Poupard lors de la 10e congrégation générale du synode qui s'est ouverte à 9 h, samedi 8 octobre, sous la présidence du cardinal Telesphore Placidus Toppo, en présence du pape Benoît XVI et de 238 membres du synode.

Le cardinal Paul Poupard, président du conseil pontifical de la Culture se référait à la IVe partie, chapitre II de l' Instrumentum laboris: «Eucharistie, Mission évangélisatrice et Inculturation» (ns. 78 et 80), et à la conclusion (ns. 90 et 91). Il affirmait : « La liturgie est belle parce qu'elle exprime la beauté de la sainteté de Dieu » et citait une sainte « eucharistique », sainte Thérèse de Lisieux.

Le ministre de la Culture du Vatican disait tout d’abord : « L'Eucharistie est «force de transformation des cultures, semence d'un monde nouveau» (Instr. lab., 90). La transformation du pain et du vin en corps et sang du Christ est le gage de la transformation opérée en nous par l'Eucharistie. Chaque fidèle est appelé à assimiler, dans la méditation personnelle et la prière communautaire, la réalité du mystère célébré. Nourri de cette célébration, il «incarne le projet eucharistique dans la vie quotidienne, dans les milieux de travail et de vie» (Instr. lab., 78). C'est ainsi que l'Eucharistie agit comme semence d'une nouvelle culture pour une authentique civilisation de l'amour ».

Il faisait observer : « L'évangélisation n'est pas le fruit de l'inculturation. Elle en est la source. Vivante au cœur des cultures dans la vaste mosaïque des peuples, l'Église ne cesse de les évangéliser pour inculturer l'évangile. Il suffit d'évoquer le nom de saint Benoît pour mesurer la fécondité millénaire d'une culture évangélisée par le témoignage des communautés ecclésiales, particulièrement de la vie monastique ».

« Deux millénaires de 'pratique' eucharistique, ont vu les hommes et les femmes de cultures différentes, donner forme, selon le génie de leur propre culture, à des liturgies inculturées, comme en témoignent les Églises orientales, ajoutait le cardinal Poupard. Les rites différents expriment et doivent exprimer toujours le même mystère. Ils ne naissent pas d'une adaptation de l'Eucharistie à la culture, mais d'une transformation des cultures par l'Évangile: l'Église recherche les formes les plus appropriées, purifiées des scories dues au péché de l'homme, pour aider les fidèles à vivre pleinement le mystère révélé reçu de son Seigneur ».

Il précisait l’importance de ce dialogue : « En dialogue avec le monde de la non-croyance et de l'indifférence religieuse, le Conseil Pontifical de la Culture le constate: la superficialité, parfois même la banalité, voire la négligence de certaines célébrations, non seulement n'aident pas le croyant dans son cheminement de foi, mais heurtent aussi ceux qui les vivent de l'extérieur. Une importance excessive donnée à la dimension pédagogique et à la volonté de rendre la liturgie compréhensible même aux observateurs extérieurs, comme si c'était sa fonction première, produit le résultat inverse. On n'inculture pas une contre-culture. La vocation d'une liturgie inculturée est de nous introduire de tout notre être dans la grandeur du mystère de la foi en l'action salvifique de Dieu en Son Fils Jésus ».

Il concluait : « La liturgie est belle parce qu'elle exprime la beauté de la sainteté de Dieu (cf. lnstr. lab., n 90). Pour le croyant, la beauté transcende l'esthétique. Elle permet le passage du «pour soi» au «plus grand que soi ». La liturgie n'est belle, et donc vraie, que dépourvue de tout motif autre que celui de la célébration du Seigneur. La beauté des rites, des signes, des chants et des ornements de la célébration liturgique n'a pour but que de nous introduire à la beauté profonde de la rencontre avec le mystère de Dieu, présent au milieu des hommes par l'intermédiaire de son Fils, Lui qui renouvelle sans cesse pour nous son sacrifice d'amour. Elle exprime la beauté de la communion avec Lui et avec nos frères, la beauté d'une harmonie profonde qui se traduit en des gestes, des symboles, des paroles, des images et des mélodies qui touchent profondément le cœur et l'esprit, et suscitent l'émerveillement et le désir de rencontrer le Seigneur ressuscité, “Porte de la Beauté”. La liturgie est belle quand elle est « agréable à Dieu» et nous introduit dans la joie divine, avec tous les saints, et la Vierge Marie, «femme eucharistique par excellence». »

« C'était la prière eucharistique de Thérèse, Docteur de l'Église: «Mon Bien-aimé, viens vivre en moi. Oh! Viens, ta beauté m'a ravie. Daigne me transformer en Toi!» », ajoutait le cardinal Poupard.
ZF05101007

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Card. Cottier : La communion eucharistique suppose une communion dans son intégralité


ROME, Lundi 10 octobre 2005 (ZENIT.org) – La communion eucharistique suppose une communion dans son intégralité, a fait observer le cardinal Georges Marie Martin Cottier, O.P., Pro-théologien de la Maison Pontificale, lors de la 10e congrégation générale du synode qui s'est ouverte à 9 h, samedi 8 octobre.

« Si l'Eglise a énoncé des directives relatives à l'admission à l'Eucharistie des chrétiens non-catholiques et si elle rejette l'inter-communion, c'est parce que la communion eucharistique n'est pas un point de départ, mais parce qu'elle exprime et porte à perfection une communion qu'elle présuppose dans son intégralité: communion dans la doctrine des apôtres, dans les sacrements et dans la communion avec le collège apostolique dont Pierre est le Chef », disait le cardinal Cottier.

« Il arrive que cette position, n'étant pas comprise, semble à nos frères protestants injustement dure. C'est un devoir fraternel en conséquence que l'Eglise dise qu'elle ne se reconnaît pas le droit de disposer à son gré de ce qui est un don reçu de son Seigneur. Son attitude est d'adoration, de louange, et d'obéissance », affirmait le cardinal Cottier.
ZF05101008

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40e anniversaire de l’institution synodale : Congrégation spéciale
Bilan des différentes assemblées synodales

ROME, Lundi 10 octobre 2005 (ZENIT.org) – le 40e anniversaire de l’institution synodale a été évoquée lors d’une congrégation générale spéciale, samedi 8 octobre dans l’après midi, sous la présidence du cardinal Telesphore Placidius Toppo. L’occasion d’un bilan des assemblées ordinaires ou spéciales – continentales.

Mgr Nikola Eterovic, secrétaire général du synode, a évoqué cette institution comme une expression privilégiée de la collégialité épiscopale.

Ce 40e anniversaire constitue, disait-il, « une bonne occasion pour approfondir la nature théologique et juridique de cette institution, née pendant le Concile Vatican II ».

Le synode a en effet « eu le grand mérite de développer la dimension synodale du Corpus Episcorum, d'encourager la collégialité épiscopale entre les évêques et avec le Saint-Père », a précisé Mgr Eterovic.

Il rappelait que le synode des évêques a été institué le 15 septembre 1965, par le pape Paul VI, et qu'il a eu jusqu'à maintenant quatre présidents : Paul VI, Jean-Paul I, Jean-Paul II et Benoît XVI, et que celui-ci présidait « pour la première fois une assemblée synodale ».

Il a également eu deux rapporteurs généraux d'assemblées ordinaires, en 1974 et 1980, qui sont devenus papes : le cardinal Karol Wojtyla et le cardinal Joseph Ratzinger.

Pour ce qui est de cette XIe assemblée ordinaire, il soulignait qu’un « signe tangible de la jeunesse du synode est le fait que plus de la moitié des pères synodaux de la XIe assemblée générale ordinaire participent pour la première fois à une assemblée synodale ».

Les aspects théologiques et juridiques du synode des évêques ont été souligné par le cardinal Jozef Tomko, secrétaire général du synode de 1979 à 1985, et le cardinal Peter Erdö, Archevêque d'Esztergom-Budapest.

L'assemblée spéciale pour les Pays-Bas, convoquée par Jean-Paul II et tenue en janvier 1980, a été évoquée par le cardinal Adrianus Simonis, archevêque d'Utrecht.

L’assemblée spéciale pour l'Afrique convoquée en avril-mai 1994, a été évoqué par Mgr Paul Verdzekov, archevêque de Bamenda, au Cameroun.

L'assemblée spéciale pour le Liban, célébrée en novembre 1995, a été évoquée par Mgr Cyril Salim Bistros, MSSP, évêque de l'Eparchie melkite de Newton, aux Etats-Unis, qui était le rapporteur général de cette assise.

Les fruits de l'assemblée spéciale pour l'Amérique (novembre-décembre 1997), ont été évoqués par le cardinal Juan Sandoval Iñiguez, archevêque de Guadalajara, au Mexique : il en a été le rapporteur général.

Les résultats de l'assemblée spéciale pour l'Asie (avril-mai 1998) ont été présentés par le cardinal Paul Shan Kuo-hsi, SJ, évêque de Kaohsiung (Chine-Taïwan).

L'assemblée spéciale pour l'Océanie (novembre-décembre 1998) a été présentée par Mgr John Atcherley Dew, archevêque de Wellington, en Nouvelle-Zélande, qui a lu un texte préparé par le cardinal Thomas S.Williams, archevêque émérite du même diocèse, et président délégué de l’assemblée.

L’assemblée spéciale pour l'Europe (octobre 1999) a été présenté par le cardinal Antonio Maria Rouco Varela, archevêque de Madrid, qui en a été le rapporteur général.
ZF05101009

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International


« Le courage d’un humanisme de paix » à la une de la « doc-catho »
Dossier sur la XIXe Rencontre internationale et interreligieuse de Lyon

ROME, Lundi 10 octobre 2005 (ZENIT.org) – « Le courage d’un humanisme de paix » : la « Documentation catholique du 16 octobre (n° 2344) propose un dossier sur la XIXe Rencontre internationale et interreligieuse promue par la communauté de Sant’Egidio à Lyon, les 11-13 septembre, et en particulier :

11 septembre
Célébration d’ouverture
– Homélie du cardinal Philippe Barbarin à la basilique Notre-Dame de Fourvière.
– Homélie du Catholicos arménien Karékine II.
– Message du Pape Benoît XVI.

Séance inaugurale
– Intervention d’Andrea Riccardi, fondateur de Sant’Egidio.
– Intervention de M. Nicolas Sarkozy, ministre de l’Intérieur.
– Discours du Dr Rowan Williams, archevêque de Cantorbéry.

13 septembre
– Intervention de Mgr Jean-Pierre Ricard, Président de la Conférence des évêques de France.
– Appel pour la paix.
– Paroles du Frère Aloïs de Taizé.

Parmi les « Actes du pape Benoît XVI », ce numéro publie aussi le discours du pape pour le 40e anniversaire de Dei Verbum et sa Lettre pour le 25e anniversaire du syndicat polonais Solidarnosc. A sommaire aussi les catéchèses liturgiques des audiences générales du 17 août au 14 septembre.

Au sommaire également, le discours du cardinal Angelo Sodano pour les 60 ans de l’ONU sur le thème : « La responsabilité de l’ONU : protéger ».

Pour ce qui est de l’Eglise en France, quelques titres :
« Aimer la France ». Homélie du cardinal Roger Etchegaray à Strasbourg.
« 60 ans après Hiroshima et Nagasaki ». Déclaration du Conseil d’Églises chrétiennes en France.
« Paternité et maternité dans leurs différences et dans leurs liens ». Texte de Xavier Lacroix.
« La dette des économistes envers Jean-Paul II ». Texte de Jean-Yves Naudet.

Enfin pour ce qui est des Eglises dans le monde, la « doc-catho » publie la conférence du P. Timothy Radcliffe, o.p. sur le thème : « La contribution du christianisme à l’avenir de l’Europe ».
ZF05101010

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