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Enseignement du Saint Père

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ATELIER

INCæLIS
La Porte du Ciel

Enseignement du Saint Père 

N° 9 RP.T.

LE TEMPS

 

 
     
 
 
 

 

La Revue de presse que je vous présente n'est pas ici pour salir la religion catholique. Elle est pour savoir ce que l'on pense en dehors de l'Église. Vous remarquerez que très souvent la Presse est obligée d'admettre la réalité de Jésus-Christ !
Papy pour vous Servir.

Le digne successeur de Jean Paul II

Patricia Briel
Lundi 22 août 2005

Hier, Benoît XVI a mis un point final aux 20e Journées mondiales de la jeunesse. A Marienfeld, près de Cologne, il a célébré une messe gigantesque qui a réuni plus d'un million de personnes. Avec le recul, ce ne sont pas les JMJ de Cologne qui ont représenté le temps fort de ce premier voyage à l'étranger du nouveau pape. Sa visite à la synagogue et ses rencontres avec des représentants des autres confessions chrétiennes et de l'islam sont apparues autrement plus importantes.

 

 
   
 



Soixante ans après la fin de la Seconde Guerre mondiale, c'est un pape allemand qui est aujourd'hui chargé d'annoncer un message de paix au monde et de mettre celui-ci en garde contre les démons de la guerre, de l'intolérance et de la violence. Mais sans un dialogue fraternel entre les religions, la paix n'a aucune chance. Cela, Benoît XVI l'a bien compris. Il a donc choisi de marcher sur les traces du pape polonais qui, le premier, a semé les graines du dialogue interreligieux avec des actes concrets et symboliques. En s'adressant aux juifs dans la synagogue de Cologne, Benoît XVI a montré qu'il était le digne successeur de Jean Paul II. Il a redit avec force la volonté de l'Eglise catholique de s'engager en faveur de la tolérance, du respect et de l'amitié entre tous les peuples.

 

 
   
 

A l'instar du dialogue interreligieux, l'œcuménisme constitue également un élément clé de l'agenda du nouveau pape. Vendredi, il a affirmé lui-même que les divisions des chrétiens font qu'ils ne sont plus crédibles devant les hommes. Issu du pays de la Réforme, Benoît XVI, plus que Jean Paul II, connaît les souffrances engendrées par cette rupture de l'unité. Et, sans doute davantage que son prédécesseur, dont la priorité était la réconciliation avec l'orthodoxie, Joseph Ratzinger est conscient qu'il doit considérer les protestants comme des partenaires essentiels du dialogue œcuménique.

 

 
   
 

    Il ne serait d'ailleurs pas étonnant qu'il donne à l'avenir plus d'importance aux relations avec les protestants. D'un point de vue ecclésial et théologique, peu de chose sépare le catholicisme de l'orthodoxie. Le chemin de la réconciliation avec les protestants contient beaucoup plus d'obstacles. Mais Benoît XVI est très préoccupé par la déchristianisation de l'Europe occidentale. Et il sait que seul un dialogue fécond avec les protestants peut redonner au christianisme la force prophétique dont il a tant besoin de ce côté-ci du continent européen. Lors des JMJ, il a donné des signes d'ouverture dans ce sens.
 

 
    
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doit être longue si nous la passons ailleurs qu'au « Ciel »!
Ce merveilleux endroit que notre Seigneur Jésus Christ lui-même, nous a promis

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