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Enseignement du Saint Père

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La Porte du Ciel

Enseignement du Saint Père 

N° 8

du 9 septembre 2005

 

 
     
 
 
 

 

du 9 septembre 2005


Rome
Nominations d’évêques chinois au synode: Réactions en Chine
Benoît XVI salue l’œuvre de Don Benzi, 80 ans
« La Sainte Ecriture dans la Vie de l’Eglise », congrès au Vatican
XVe Forum économique : Puiser au riche patrimoine de valeurs chrétiennes
Grande Bretagne : Une technique de clonage « viole la loi internationale »
L’Osservatore Romano : « Toutes les heures, 1200 enfants meurent de faim »

International
Le carmel de Fourvière prie pour le rassemblement de Sant’Egidio
Belgique : La « Grande procession de Tournai », dimanche 11 septembre
« Journée Pour la Jeunesse » à Paris, samedi et dimanche

 



 

 
   
 

 

Rome



Nominations d’évêques chinois au synode: Réactions en Chine
Réaction des quatre évêques intéressés

ROME, Vendredi 9 septembre 2005 (ZENIT.org) – Les quatre évêques chinois nommés par Benoît XVI comme membres du prochain synode sur l’Eucharistie (2-23 octobre), disent leur joie d’avoir été invités, mais ils sont conscients que le gouvernement chinois pourrait refuser de leur délivrer un passeport. Propos et analyse de Asia News, l’agence de l’Institut pontifical des missions étrangères de Milan (PIME, http://www.asianews.it/main.php?l=en) et de « Eglises d’Asie », l’agence des Missions étrangères de Paris (EDA, eglasie.mepasie.org).

Une nouvelle sur fond de pression internationale. Une motion a en effet été adoptée aujourd’hui par le Parlement européen, demandant à la Chine de protéger la liberté religieuse. La motion a été déposée par les députés Mario Mauro et José Ribeiro y Castro, demandant la fin de la discrimination religieuse et de la répression.

Rappelons que les quatre évêques sont (cf. Zenit, 8 septembre) Mgr Antoine Li Du’an, évêque de Xi’an, dans la province chinoise du Shaanxi et Mgr Louis Jin Luxian, évêque de Shanghai, considérés comme « officiels » et Mgr Luc Li Jingfeng, évêque de Fengxiang, dans le Shaanxi, reconnu mais dans une situation particulière, et Mgr Joseph Wei Jingyi, évêque de Qiqihar, dans le Heilongjiang, considéré comme « clandestin ».

Selon des sources vaticanes, citées aujourd’hui par l’agence d’information catholique Ucanews, le Saint-Siège a communiqué l’invitation du pape aux quatre évêques intéressés au cours du mois d’août dernier. Ces invitations, a précisé une source du Vatican, se voulaient le reflet du désir de Benoît XVI d’exprimer publiquement le lien spirituel qui unit les catholiques de Chine populaire avec le Saint-Siège et l’Eglise universelle. La même source a ajouté que la Secrétairerie d’Etat avait informé le gouvernement chinois de l’existence de ces invitations au début du mois de septembre et elle a exprimé l’espoir que Pékin se montrerait coopératif et laisserait les quatre prélats aller à Rome.

Réaction des évêques : Mgr Antoine Li Du’an
Mgr Li Du’an, archevêque de Xian, âgé de 79 ans, est soigné pour un cancer du foie. Il a déclaré, selon Asia News : « Nous n’avons pas encore reçu de signe du gouvernement. Cette fois, il y a une chance que nous venions, mais elle est faible ». Il souligne cependant que de nombreuses choses changement actuellement en Chine et qu’il y a « plus d’ouverture », en dépit des difficultés non résolues.

Mgr Li Du’an craint que le gouvernement fasse quelque difficulté pour l’évêque Wei Jingyi, le seul des quatre qui ne soit pas reconnu par le gouvernement: « Pour nous trois, dit-il,– Mgr Jin, Lgr Li Jingfeng, et moi-même – c’est difficile. Mais pour Mgr Wei, que je ne connais pas, c’est encore plus difficile ».

Mgr Antoine Li Du’an a ainsi confirmé, souligne EDA, qu’il avait déposé une demande de sortie du territoire et qu’à la date du 6 septembre, aucune réponse des autorités ne lui avait été communiquée. « Il n’est pas facile à des évêques continentaux de prendre part à une assemblée au Vatican car la Chine n’entretient pas de relations diplomatiques avec le Saint-Siège », a déclaré l’évêque. « Mon mauvais état de santé pourrait rendre le voyage difficile », a-t-il ajouté.

Réaction des évêques : Mgr Louis Jin Luxian
Parlant au téléphone avec « Asia News », Mgr Jin, évêque de Shanghai, a souligné que ces nominations pontificales constituent « un geste d’amitié du Vatican envers le gouvernement chinois », et il disait espérer que le gouvernement donnera à tous sa permission de venir au synode ».

Mgr Jin Luxian est connu pour ses liens avec les autorités politiques chinoises. Mais il a confié à Asia News ne pas avoir encore reçu la lettre de nomination et l’invitation, mais un courrier électronique. « En tous cas a-t-il insisté, c’est un grand honneur pour moi et pour toute l’Eglise chinoise ».

La même source précise que l’évêque, qui est âgé de 89 ans, souffre de problèmes cardiaques et de diabète, et il n’est pas sûr de pouvoir affronter le voyage. « Je suis malade et très vieux, a-t-il déclaré, toujours au téléphone. Et je vous demande, ainsi qu’à vos lecteurs de prier pour moi. Commentant la nomination ensemble d’évêques de l’Eglise « clandestine » et « officielle », il a souligné qu’il s’agissait d’un pas significatif du Vatican : « Je ne connais pas personnellement Mgr Wei Jingyi, a-t-il ajouté, mais je connais bien Mgr Li Jingfeng et je l’estime, parce que c’est un excellent évêque ».

Réaction des évêques : Mgr Luc Li Jingfeng
Pour Mgr Luc Li Jingfeng, un de ses fidèles contacté par Asia News, a déclaré qu’il a reçu la lettre du Vatican, et il a cru d’abord qu’il s’agissait d’une « plaisanterie ». Après avoir demandé des informations complémentaires, il s’est trouvé « très content et même plein d’enthousiasme ». « Mon évêque, a déclaré le même témoin, espère vraiment pouvoir venir à Rome. Il dit qu’il peut y avoir des difficultés de la part du gouvernement, mais il a confiance de pouvoir sortir du pays pour rendre visite au pape ».

Quelques jours auparavant, le 6 septembre, Mgr Luc Li Jingfeng, évêque de Fengxiang, déclarait en effet avoir reçu l’invitation du pape à la mi-août, précise EDA. Quelques jours plus tard, ajoutait-il, il avait contacté un représentant local des Affaires religieuses pour demander l’autorisation de se rendre au synode. Le fonctionnaire avait accepté de transmettre sa requête au niveau central de l’Administration d’Etat pour les Affaires religieuses. Depuis, selon l’évêque, aucune nouvelle ne lui a été communiquée.

EDA précise que le diocèse de Fengxiang présente cette particularité de ne compter aucun clergé « officiel ». Mais en août 2004, Mgr Luc Li, qui avait toujours refusé de collaborer aux structures mises en place par le pouvoir chinois pour contrôler l’Eglise, a accepté de participer à la Conférence des évêques de l’Eglise catholique en Chine, la conférence des évêques « officiels » (en revanche, il a refusé de s’affilier à l’Association patriotique des catholiques chinois). Mgr Luc Li ainsi que les prêtres et les religieuses placés sous son autorité ne sont donc plus considérés comme « clandestins ».

Mgr Luc Li a rappelé que les évêques « officiels » se voyaient dans l’obligation d’obtenir l’accord de l’Administration d’Etat des Affaires religieuses pour sortir du pays, particulièrement lorsque le motif du voyage est la participation à un événement à caractère religieux. « Aucun d’entre nous ne pourra [y] aller si le gouvernement met en avant le fait qu’il n’existe pas encore de relations diplomatiques [entre le Saint-Siège et Pékin] », a souligné Mgr Luc Li. Cependant, il ajoute que, Pékin ayant dernièrement indiqué que la Chine souhaitait améliorer ses relations avec le Vatican, un espoir subsiste. Enfin, Mgr Luc Li a estimé que, des quatre évêques invités à Rome, c’était Mgr Wei Jingyi qui, du fait de son appartenance aux structures de l’Eglise « clandestine », était le moins à même d’obtenir un passeport.

Réaction des évêques : Mgr Joseph Wei Jingyi
Enfin, contacté par l’agence Ucanews le 9 septembre, Mgr Joseph Wei Jingyi, évêque de Qiqihar, s’est dit, précise EDA, « impatient » de prendre part au synode, précisant qu’il s’y préparait. Pour cet évêque âgé de 47 ans, ce serait la deuxième fois qu’il se rendrait à Rome : en juillet 2002, il était discrètement passé au Vatican et avait eu une entrevue avec Jean-Paul II. Mgr Wei a déclaré que les quatre évêques ensemble représentaient l’Eglise de Chine et il a précisé qu’il ne se considérait pas comme représentant la seule Eglise « clandestine ».

Un prêtre du diocèse de Qiqihar a confié à l’agence Asia News que Mgr Wei Jingyi « est en train de préparer ses valises ». Mgr Joseph Wei a mis en route les démarches pour obtenir un passeport, mais nul n’est actuellement en mesure de dire s’il lui sera accordé, commente la même source. Mais les fidèles de Qiqihar prient pour que cela se fasse, et estime que cela pourrait être possible étant donné que « la situation est en train de changer en Chine ».

Réaction de l’Association patriotique
Dans l’édition du 8 septembre du Wen Wei Po, quotidien hongkongais proche de Pékin, Antoine Liu Bainian, vice-président de l’Association patriotique, s’est déclaré peu convaincu que le Saint-Siège ait envoyé des invitations à l’Eglise de Chine avec un réel espoir que les évêques puissent participer au synode. Il a précisé que ni l’Association patriotique ni la Conférence épiscopale n’avaient reçu une invitation du Saint-Siège, ajoutant qu’il n’avait entendu parler que de « rumeurs » d’invitation sur Internet. Il a refusé de se prononcer davantage sur l’éventuel voyage des quatre évêques à Rome. « C’est difficile de dire maintenant ce que nous ferons », a-t-il déclaré à des agences internationales ce 9 septembre.

Des observateurs de l’Eglise en Chine estiment que le Vatican a agi par contacts directs avec le gouvernement, sans passer à travers des structures encore très liées à l’idéologie passée.

A Hongkong
Anthony Lam Sui-ki, du Centre d’études du Saint-Esprit, rattaché au diocèse de Hongkong, a estimé que « le Vatican avait fait un choix idéal [en désignant les quatre évêques] ». « Chacun d’eux a réalisé une tâche remarquable dans les domaines de la théologie, de la formation, de la promotion des contacts entre la Chine et l’Occident, ainsi que dans l’élaboration de modèles de coopération entre le gouvernement chinois et l’Eglise. Leur venue [à Rome] serait bénéfique au progrès de la société chinoise et favoriserait la normalisation de la vie de l’Eglise en Chine », a-t-il expliqué, exprimant également l’espoir que Pékin comprenne l’enjeu du synode en termes de communication entre l’Eglise de Chine et l’Eglise universelle. Selon Anthony Lam, la question des invitations ne doit pas être mêlée à celle des relations diplomatiques entre Rome et Pékin, ce dernier dossier étant « une question au niveau national », relève la même source.

Pour Kwun Ping-hung, un non-catholique basé à Hongkong, le fait que les invitations aient été portées aux quatre évêques et non à la Conférence épiscopale, que le Saint-Siège ne reconnaît pas, sera sans doute l’obstacle sur lequel butera la venue des évêques à Rome. Pékin refusera que la Conférence épiscopale ne soit pas prise en considération et que des membres de l’Eglise « clandestine » soient mis en avant. Il interdira donc probablement les voyages à Rome, a estimé cet observateur attentif des questions liées à l’Eglise en Chine.

Enfin, soulignons que parmi les nominations pontificales au synode se trouve également l’évêque de Hong Kong, Mgr Joseph Zen Ze-kiun, qui ne rencontre pas les mêmes difficultés, et également le cardinal Paul Shan Kuo-hsi, évêque de Kaohsiung, à Taiwan.
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Benoît XVI salue l’œuvre de Don Benzi, 80 ans
Des communautés au service des plus pauvres

ROME, Vendredi 9 septembre 2005 (ZENIT.org) – Don Oreste Benzi a eu 80 ans le 7 septembre : il est bien connu en Italie pour l’association « Pape Jean XXIII » qu’il a fondée pour défendre les pauvres et les marginaux, et en particulier pour son travail pour libérer les femmes de l’esclavages de la prostitution. Le pape lui a adressé ses vœux et ses remerciements.

Don Benzi avait été invité récemment au Vatican pour participer à Ière Rencontre internationale de Pastorale pour la libération des femmes de la rue organisé par le Conseil pontifical pour les migrants et les itinérants justement les 20 et 21 juin dernier (cf. Zenit, 21 juin). Une messe a eu lieu à Rimini le 7 septembre autour du fondateur.

Le message du pape, envoyé par le cardinal secrétaire d’Etat Angelo Sodano, a été lu à la fin de cette messe.

Benoît XVI y présente ses souhaits les plus cordiaux à Don Benzi, en « s’unissant spirituellement » à toute l’Association « Papa Giovanni XXIII ».

Le pape « exprime, dit le télégramme, sa vive reconnaissance pour le long et inlassable service que vous avez rendu à ceux qui se trouvent dans des situations de grand malaise et d’abandon, et il invoque sur vous une nouvelle effusion des faveurs célestes afin que vous poursuiviez avec un dévouement toujours généreux cette œuvre apostolique entreprise en semant l’espérance et la paix, dans le cœur de tant de personnes éprouvées et en témoignant de l’Evangile de la Charité ».

Cette association compte en Italie et dans le monde 1709 personnes dans 22 pays. « Nous ne faisons pas ce que nous faisons parce que nous sommes des personnes bien, mais parce que le Seigneur nous a mis ensemble », a déclaré Don Benzi dans son homélie.

En 25 ans, il rappelait qu’il a rencontré quelque 7000 jeunes drogués, accueillis dans les communautés avec un pourcentage de réinsertion réussie de 80 % ; que 5500 jeunes femmes ont été libérées de « l’esclavage la prostitution ».

Don Benzi a un vœu : rencontrer Benoît XVI. Il avait un lien particulier avec Jean-Paul II : on se souvient qu’il était venu participer à une audience générale avec l’une de ses filles spirituelles, libérée de la prostitution, que le pape avait bénie.

Né le 7 septembre 1925 dans la région de Rimini, septième de neuf enfants, Don Benzi est entré au petit séminaire de Rimini à l’âge de 12 ans. Il a été ordonné prêtre en 1949 et sa mission a toujours été liée à la pastorale des jeunes. En 1968, il fonde l’association « Papa Giovanni XXIII », avec un petit groupe de jeunes et d’autres prêtres, pour répondre aux besoins des personnes marginalisées en Italie et dans d’autres pays.

La première « Maison famille », « Casa famiglia », naît à Coriano, dans la province de Rimini. En tout 186 « Case famiglia » seront fondées, six maisons de prière, 7 maisons de fraternité, 15 coopératives sociales, 6 centres de jour, 32 communautés thérapeutiques, ainsi que la « Campanna de Bethléem » à Rimini, pour accueillir « les pauvres qui n’ont pas le courage de demander de l’aide, en allant les chercher là où ils sont ».

Le travail de l’association est actuellement présent aussi en Zambie, en Tanzanie, au Kenya, en Sierra Leone, au Brésil, au Chili, en Bolivie, au Mexique, au Bangladesh, en Croatie et au Kosovo.
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« La Sainte Ecriture dans la Vie de l’Eglise », congrès au Vatican
40e anniversaire de « dei Verbum »

ROME, Vendredi 9 septembre 2005 (ZENIT.org) – « La Sainte Ecriture dans la Vie de l’Eglise » : ce titre du dernier chapitre de la constitution conciliaire « Dei Verbum » a été choisi pour le congrès organisé pour marquer le 40e anniversaire de la promulgation du document sur la Révélation divine.

Le congrès a été présenté le 8 septembre en la salle de presse du Saint-Siège par le cardinal Walter Kasper, président du Conseil pontifical pour la Promotion de l’Unité des chrétiens, co-organisateur avec la Fédération biblique catholique, présidée par Mgr Vincenzo Paglia, évêque de Terni.

Le congrès rassemblera à Rome, du 14 au 18 septembre plus de 400 participants de 98 pays. Ils seront reçus par le pape Benoît XVI le 16 septembre.

Le cardinal Kasper a cité cet aphorisme de saint Jérôme : « Ignorer l’Ecriture, c’est ignorer le Christ » pour souligner l’importance de « Dei Verbum » pour la vie de tout croyant.

Il expliquait : « La Parole de Dieu a la première place. Ce n’est que par elle que nous pouvons comprendre l’Eglise ». Le congrès se veut donc un moment d’examen critique de la pastorale biblique à la lumière du choix accompli par les pères du concile.

Il précisait : « Le concile affirme l’essence et l’importance de la Parole de Dieu comprise comme message de salut et de vie. La révélation n’est ni un mythe étranger à l’histoire ni une spéculation abstraite, elle advient dans l’histoire, qui trouve son accomplissement en Jésus Christ ».

« Dans la révélation, ajoutait le cardinal Kasper, Dieu nous parle comme à des amis, dans son immense amour ». A cette interprétation de la Révélation correspond « une compréhension de la foi qui tend exclusivement vers Dieu ».

« Par l’Esprit Saint promis à l’Eglise, la Parole de Dieu qui s’est manifestée une fois pour toutes en Jésus Christ, se fait continuellement vivante et présente dans l’Eglise. C’est seulement si l’Eglise écoute ce que l’Esprit a à dire aux Eglises (cf. Ap 2 ss) qu’elle peut être Eglise qui proclame la Parole. Proclamation d’un message salvifique adressé à toute l’humanité ».

Le cardinal Kasper a également souligné l’impact de Dei Verbum sur les relations œcuméniques. Des représentants d’autres Eglises ou communautés ecclésiales participeront en effet au congrès.

Pour ce qui est des relations avec l’Eglise russe, le cardinal Kasper a souligné, en répondant à la presse, qu’elles s’améliorent. Le cardinal a aussi souligné que le pape souhaite pouvoir se rendre au Phanar, le siège du patriarcat œcuménique de Constantinople, pour répondre à l’invitation du patriarche Bartholomaios Ier, à l’occasion de la fête du patron de l’Eglise de Constantinople, saint André, le 30 novembre. Mais il manquerait encore le feu vert du gouvernement turc.

Pour Mgr Paglia, « l’œcuménisme spirituel » – recommandé par Benoît XVI – « trouve dans l’écoute des Saintes Ecritures le lieu privilégié pour progresser dans le domaine œcuménique ».

En France, en Espagne et en Italie, les 80 % des catholiques pratiquants n’écoutent la Bible que le dimanche et à peine le 3 % la lisent tous les jours.

Il semble que pour les catholiques des pays qui ont participé à cette étude, la Bible est encore un livre réservé au clergé, plutôt que le livre de leur vie.

Pourtant, 41 % des fidèles retiennent que l’homélie est le moment le plus utile pour la croissance de la propre foi. D’où la nécessité de reprendre l’exhortation de Jean-Paul II qui affirmait : « La tâche exigeante de la nouvelle évangélisation passe par la réception de la Bible par tout le Peuple de Dieu ».

Parmi les intervenants du congrès, le cardinal Walter Kasper, le cardinal Carlo Maria Martini et l’archevêque d’Abuja, John Onaiyekan, et plus de 50 spécialistes de renommée internationale, pour évoquer aussi bien le dialogue œcuménique que les défis du fondamentalisme.
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XVe Forum économique : Puiser au riche patrimoine de valeurs chrétiennes
« Les défis européens : modèles et frontières de l’Europe »

ROME, Vendredi 9 septembre 2005 (ZENIT.org) – Puiser au riche « patrimoine de valeurs chrétiennes et spirituelles », c’est « la condition du développement authentique en Europe », pour le cardinal Renato Martino, président du Conseil pontifical Justice et Paix, qui est intervenu le 7 septembre au XVe Forum économique international.

Ce congrès promu par l’institut d’Etudes sur l’Europe de l’Est, s’est déroulé en Pologne, à Krynica, sur le thème : « Les défis européens : modèles et frontières de l’Europe », et il a rassemblé intellectuels, hommes de la politique, de l’économie, du monde de la science, et des journalistes.

« Si manquent une vision intégrale de la personne humaine, le plein respect de sa dignité inaliénable, et la reconnaissance de ses droits fondamentaux, la démocratie se transforme en technique procédurale, la biotechnologie en fabrication de la vie et de l’homme, les technologies de l’information en production de mondes virtuels et s’ouvrent les portes à des formes inédites d’asservissement de l’homme à l’homme », a affirmé le cardinal Martino.

Il soulignait que les valeurs de la vérité, de la liberté, de la solidarité, et de la responsabilité ont rendu possible la « construction européenne » et sur la base de ces même valeurs, l’Europe pourra remplir son rôle à l’avenir, c’est-à-dire construire la paix dans ses frontières et dans le monde entier.

« Ce vieux continent, qui a connu avant les autres des guerres de religions, des impérialismes, des idéologies, et des totalitarismes, a le devoir de se proposer aujourd’hui au monde comme un laboratoire de coexistence pacifique, de solidarité et de paix », a ajouté le cardinal Martino.

Le président de Justice et Paix a cité le riche enseignement social de Jean-Paul II et de Benoît XV et en particulier le Compendium de l’enseignement social de l’Eglise, publié en 2004 par son dicastère, pour parler de « l’éthique chrétienne » et du « capitalisme postindustriel ».

La doctrine sociale, soulignait encore l’ancien représentant du Saint-Siège à l’ONU, reconnaît le caractère positif du marché et de l’entreprise mais indique en même temps la nécessité qu’ils soient orientés vers le bien commun.

Le cardinal italien concluait à la nécessité d’une vision personnaliste dans laquelle personne et société, liberté et solidarité non seulement ne s’excluent pas mais sont la condition l’une de l’autre.
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Grande Bretagne : Une technique de clonage « viole la loi internationale »
Projet préoccupant pour Mgr Sgreccia

ROME, Vendredi 9 septembre 2005 (ZENIT.org) – Une technique de clonage qui « viole la législation internationale sur les embryons humains » : le président de l’Académie pontificale pour la Vie (academiavita.org), Mgr Elio Sgreccia, a exprimé sa préoccupation, ce vendredi, au micro de Radio Vatican, à la nouvelle du projet de clonage, en Grande Bretagne, à partir de l'ADN de deux mères. « Moralement inacceptable », explique Mgr Sgreccia, arguments à l’appui.

Une équipe de l’université britannique de Newcastle, vient en effet de recevoir l’autorisation de cloner un embryon humain avec une technique nouvelle : utiliser le « matériel génétique de deux mères », selon une annonce de la BBC, le 8 septembre.

Cette technique consiste à transférer le noyau d’un embryon humain dans un ovule non fertilisé d’une seconde femme. Le but de l’opération est, affirment certains chercheurs, d’empêcher des mères de communiquer certaines maladies génétiques au fœtus.

Mgr Sgreccia explique les raisons qui rendent cette expérience comme « moralement inacceptable », et souligne qu’elle « viole la législation internationale sur les embryons humains ».

« Avant tout, je dois dire qu’il s’agit d’une expérience dont l’issue reste à voir. En deuxième lieu, du point de vue moral, il y a au moins trois éléments illicites ».

Et d’expliquer : « Le premier est qu’il s’agit de faire un véritable clonage : on transfère un ovule pris d’une cellule d’embryon. Le deuxième est que cet embryon, dont on prend le noyau, est supprimé et abandonné. Le troisième est que l’on créé un nouvel embryon et qu’on le transfère dans la femme qui devient une mère porteuse ».

Mgr Sgreccia conclut à une convergence d’interdits « sur lesquels le jugement de la morale et pas seulement, -estime-t-il- catholique, est complètement négatif ».

« Et pour ce qui est des législations internationales, il y a beaucoup d’interdictions. Evidemment, l’Angleterre est désormais habituée à ne tenir aucun compte ni des interdictions européennes, ni des interdictions internationales, sur la mère porteuse, sur l’expérimentation sur les embryons et sur le clonage, qui, au niveau des Nations Unies, a été interdit ».

Radio Vatican a également donné aujourd’hui la parole sur ce sujet au prof. Angelo Vescovi, qui se dit agnostique et est l’un des chercheurs les plus renommés dans le domaine des cellules souches.
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L’Osservatore Romano : « Toutes les heures, 1200 enfants meurent de faim »
« Une tragédie qui interpelle la conscience du monde »

ROME, Vendredi 9 septembre 2005 (ZENIT.org) – « Une tragédie qui interpelle la conscience du monde », titre L’Osservatore Romano en italien de ce 19 septembre, qui cite le rapport des Nations Unies sur le développement humain : « Toutes les heures, 1200 enfants meurent de faim ».

Protestation aussi de Radio Vatican qui titrait le 8 septembre : « La pauvreté tue chaque heure dans le monde 1200 enfants. Le fossé entre riches et pauvres se creuse. Les 500 personnes les plus riches gagnent plus ensemble que les 416 millions de personnes les plus pauvres du globe. Telles sont certaines des données du rapport de l’ONU 2005 sur le développement humain rendu hier ».

Radio Vatican dénonce des « disparités inacceptables », alors que le monde accuse du retard sur les « objectifs du millénaire » fixés pour 2015 et prévoyant à l’origine la diminution 50 % de la pauvreté.

Ainsi d’ici dix ans, 827 millions de personnes tomberont encore dans un état de pauvreté extrême. Les objectifs ne seront pas atteints non plus pour ce qui est de la réduction de la mortalité des enfants et de leur instruction.

Depuis 1990, plus de 130 millions de personnes sont sorties de la pauvreté extrême, en 18 pays, la situation a empiré et 10 millions d’enfants meurent chaque année pour des causes évitables.

Au moins 2,5 milliards de personnes vivent encore avec moins de 2 dollars par jour, et 115 millions d’enfants ne vont pas à l’école.

Parmi eux, seulement 30 millions ont accès à une instruction ces dernières années. L’eau potable est un bien très précieux : mais plus d’un milliard de personnes n’en disposent pas. Et 2,6 milliards n’ont pas de service sanitaire.

Le rapport propose la clôture d’un calendrier pour arriver à des aides de la part des pays riches égal à 0,07 % du PIB d’ici 2015.

Le rapport indique que certains pays riches sont parmi les donneurs les moins généreux. Sur le commerce, l’ONU condamne des taxes iniques aux dépens des pays pauvres. Parmi les obstacles principaux à la lutte contre la misère, le rapport dénonce les conflits armés. Le développement des pays pauvres dit le texte, est la clef de la bataille pour la paix globale et la sécurité.
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International



Le carmel de Fourvière prie pour le rassemblement de Sant’Egidio
« Le courage d’un humanisme de paix »

ROME, Vendredi 9 septembre 2005 (ZENIT.org) – Les religieuses du carmel de Fourvière et les laïcs du carmel séculier proposent, le dimanche 11 septembre 2005, une journée d’adoration, en union avec la rencontre de Sant’Egidio, au carmel de Fourvière, après la messe de 10h. La chapelle sera ouverte en permanence durant tout ce temps.

La 19ème Rencontre internationale « Hommes et Religions » aura en effet lieu à Lyon, et pour la première fois en France, la semaine prochaine, du 11 au 13 septembre 2005, sur le thème : « Le courage d’un humanisme de paix ».

Les Rencontres internationales Hommes et Religions sont nées au milieu des années 80 pour poursuivre et cultiver l’esprit de la journée mondiale de prière d’Assise, convoquée par le pape Jean-Paul II le 27 octobre 1986.

Ces rencontres organisées à l’initiative de la Communauté Sant’Egidio visent à promouvoir une connaissance réciproque et un dialogue entre les religions, dans un horizon de paix.

A travers un réseau d’amitié entre les représentants des différentes religions et cultures, venant de plus de 60 pays, la Communauté Sant’Egidio souhaite ainsi soutenir vivement un pèlerinage de paix, qui a fait étape, d’année en année, dans diverses villes de l’Europe et la Méditerranée.

Le cardinal Philippe Barbarin avait expliqué l’an dernier les raisons et les enjeux du choix de Lyon :"La ville de Lyon connaît une longue tradition historique de dialogue œcuménique et interreligieux. Lorsque Sant’Egidio a proposé d’organiser le prochain rassemblement à Lyon, j’ai éprouvé une grande joie. Ce sera la première fois qu’un tel rassemblement aura lieu en France. C’est de Lyon en 1986, que Jean-Paul II avait annoncé la rencontre d’Assise, et depuis, Sant’Egidio s’est donné comme objectif de poursuivre l’"esprit d’Assise ".
Propos recueillis par Vincent Feroldi

"Les rencontres interreligieuses nées au lendemain de celle convoquée par Jean Paul II à Assise en 1986 se tiennent une fois sur deux en Italie et, l’autre fois, dans une métropole européenne. Au bout de tant d’années, il était bien naturel qu’elle vienne enfin en France...

L’esprit des rencontres « Hommes et religions » est celui d’Assise. Il peut parler aux gens de notre temps, par-delà les frontières de confessions, de générations ou de cultures. Sant’Egidio a un vrai charisme pour faire vivre un tel esprit en suscitant et en confrontant tant de paroles de liberté sur les sujets de religion et de société. Ils ont trouvé le ton juste pour rendre compte de ce que les hommes vivent de joies, d’espérances et de souffrances... Il s’agit d’aller là où la charité du Christ doit se porter aujourd’hui, et de rassembler tous les serviteurs de la miséricorde de Dieu : tous doivent s’écouter, tous doivent se comprendre.

J’attends de la première édition françaises d’« Hommes et religions », dans un an, qu’elle nous aide à cultiver un art de vivre ensemble et à montrer que les croyants peuvent être bâtisseurs de la société et serviteurs de la paix. Cette rencontre de responsables spirituels, politiques et intellectuels de tous horizons, doit permettre aussi une ouverture de nos esprits. Même si une telle manifestation ne transforme pas le monde d’un coup de baguette magique ! J’espère seulement que la vue de ces hommes et femmes de Dieu, d’accord pour condamner toute violence et d’abord celle qui prend la religion pour prétexte, pourra toucher des gens, en France et au-delà".
Propos recueillis par Michel Kubler,
LA CROIX du 8 septembre 2004

On peut découvrir le programme complet sur le site de l’Eglise de Lyon (http://catholique-lyon.cef.fr) ou de la Communauté de Sant’Egidio (www.santegidio.it), informations par courrier électronique : paix-lyon2005@wanadoo.fr

De nombreux invités sont attendus, en particulier :
Les cardinaux Walter Kasper, Ugnace Moussa Daoud, Roger Etchegaray, Paul Poupard, Dionogi Tettamanzi et Philippe Barbarin
Mgr Jean-Pierre Ricard, Mgr Yves Patenôtre, Mgr Vincenzo Paglia
Le Catholicos Karekine II, le pasteur Jean-Arnold de Clermont, Mgr Emmanuel Adamakis, métropolite de France, Mgr Filaret, métropolite de Minsk, le révérend Rowan D Williams, archevêque de Canterbury, le révérend Sunday C. Mbang et le révérend Keith Clements
Le grand rabbin d’Israël, Yona Metzger, et le grand rabbin René Samuel Sirat
Docteur Ezzedin Ibrahim, conseiller culturel du Président des Emirats Arabes Unis, et S. E. Ahmad Al-Tayyb, recteur de l’université d’Al-Hazar
Simone Weil, Nicolas Sarkozy, Jean Daniel, Mario Soares, Régis Debray et Bernard Kouchner
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Belgique : La « Grande procession de Tournai », dimanche 11 septembre
Une tradition de plus de 9 siècles

ROME, Vendredi 9 septembre 2005 (ZENIT.org) – En Belgique, la 'Grande Procession de Tournai', vieille de plus de 9 siècles, défilera dans les rues de la ville, dimanche 11 septembre 2005, annonce l’agence catholique belge « CathoBel » (www.cathobel.be) dans un très long article très documenté.

Lors de cet événement, à la fois religieux, historique et artistique, une soixante de groupes costumés entoureront les statues et reliquaires, richement fleuris, des Saints et de la Vierge vénérés dans les églises de Tournai. Selon les organisateurs, cette procession est « la seule du pays où l'on peut voir autant d'œuvres d'art, entre autres des pièces exceptionnelles du Trésor de la cathédrale, joyaux de l'orfèvrerie moyenâgeuse ». À noter aussi, pour cette 913ème édition, la présence exceptionnelle de nombreux évêques : notamment ceux de Liège et d'Hasselt mais aussi d'Utrecht, de Lille, de Reims, etc.

Depuis neuf siècles, un étonnant cortège parcourt les rues de Tournai, une des plus anciennes cités d'Occident. On y voit des châsses et des statues, véritables trésors d'art religieux, portées par de nombreux fidèles. « Ceux-ci renouvellent, année après année, une procession instituée en 1092 pour remercier Notre-Dame d'avoir délivré la ville de la peste. Sortant de la prestigieuse cathédrale aux cinq clochers, les pèlerins y reviennent au terme d'une démarche qui révèle, aux yeux de tous, un exceptionnel patrimoine humain et chrétien », explique le site dédié à l'événement. 913 ans après la première procession, l'édition 2005 se déroulera le dimanche 11 septembre et réserve cette année encore des surprises, notamment avec une belle brochette d'invités.

La procession sera en effet honorée par la présence exceptionnelle de nombreux évêques : le Cardinal Simonis, archevêque d'Utrecht, Mgr Gérard Defois, archevêque de Lille, Mgr Thierry Jordan, archevêque de Reims, Mgr Jean-Paul Jaeger, évêque d'Arras, Mgr Franciscus Wiertz, évêque de Roermond, Mgr Patrick Hoogmaertens, évêque d'Hasselt, Mgr Guy Harpigny, évêque de Tournai, Mgr Paul Van Den Berghe, évêque d'Anvers, Mgr Aloys Jousten, évêque de Liège, Mgr Pierre Warin, évêque auxiliaire de Namur, Mgr Luc De Hovre, évêque auxiliaire émérite de Bruxelles, Mgr Jan Van Cauwelaert, évêque émérite d'Inongo (R.D.C) ainsi que le Chanoine Etienne Quintiens, secrétaire de la Conférence épiscopale belge.
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« Journée Pour la Jeunesse » à Paris, samedi et dimanche
Une information complète sur les initiatives proposées aux jeunes

ROME, Vendredi 9 septembre 2005 (ZENIT.org) – « Journée Pour la Jeunesse » 2005 aura lieu à Paris, samedi 10 et dimanche 11 septembre 2005.

A cette occasion, l’archevêque de Paris, Mgr André Vingt-Trois a adressé une lettre aux catholiques de Paris.

L’archevêque souligne : « La journée pour la jeunesse ne concerne pas que les enfants. Il s’agit aussi d’aider tous les jeunes à découvrir comment leurs aînés vivent leur foi pour, à leur tour, choisir de l’accueillir en vérité. Le Guide Jeunes, distribué à travers tout le diocèse, donne une information très complète sur les nombreuses initiatives proposées aux jeunes ».

« La « journée pour la jeunesse », initiée par le Cardinal Lustiger, aura lieu le dimanche 11 septembre. Nous la vivrons dans la dynamique des JMJ de Cologne où tant de jeunes ont communié avec le Pape dans la ferveur et dans la louange », indique Mgr Vingt-Trois.

Mais il interroge : « S’ils étaient des milliers (près de cinq mille pour le groupe diocésain de Paris) à se retrouver, combien en reste-t-il à l’écart de la Bonne Nouvelle ? »

Il se réjouit, à l’occasion de la rentrée, de constater que « le nombre des enfants inscrits au catéchisme (…) a arrêté de décroître ».

« Il nous faut encore redoubler de dynamisme et d’initiatives dans ce domaine : comment ne pas vouloir offrir au plus grand nombre, et particulièrement aux enfants, cette foi que nous avons reçue et qui nous fait vivre ? », exhorte Mgr Vingt-Trois.

L’archevêque de Paris conclut : « Je vous invite à partager avec eux ce que le Seigneur a fait pour vous et ce que vous apporte votre foi en lui. Je vous invite, dans la mesure de vos possibilités, à participer aux frais de la campagne de rentrée du catéchisme afin que ceux qui pourraient en bénéficier en soient informés. Je vous invite à prier toujours davantage pour que l’Esprit de Dieu guide ces foules de jeunes sur les sentiers de la Vie. Qu’ils y rencontrent Celui qui y donne sens et qu’ils le suivent ».
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